Après une pandémie dont on peine à voir le bout du tunnel sous l’Atlantique, on remerciera le ciel de notre beau pays d’avoir su enfin nous gâter.
Après une pandémie dont on peine à voir le bout du tunnel sous l’Atlantique, on remerciera le ciel de notre beau pays d’avoir su enfin nous gâter.
Il y a un peu plus d’un an, en avril 2018, j’avais réussi à observer en Champagne la première tornade française de ma carrière. En ce 9 Août 2019, le scénario s’est répété presque à l’identique.
J’ai attendu le 29 Avril 2018 pendant 15 ans. Et j’ai été surpris malgré tout.
Chaque année c’est la même rengaine. On a passé 8 mois d’hiver en mode survie à rêver des prochains concerts de grillons vite interrompus par le tonnerre fracassant. Huit mois d’hiver en région parisienne à rêver d’été partout ailleurs.
« Des éoliennes? Naaan, je vais plutôt taper le brin d’herbe, là-bas. »
S'il y a bien une chose que j'apprécie nettement plus que les vieilles chansons françaises (non, ça ne se bonifie pas avec le temps !), ce sont les orages de Juin.
Si j’étais superstitieux, le 71 serait devenu cette année mon numéro porte-bonheur. Celui que j’aurais tenté de cocher sur une grille de loto s’arrêtant pitoyablement à 49. Le numéro d’un département qui aura sévèrement subit les colères du ciel en ce non-moins formidable numéro d’année 2012.
Parti avec la ferme intention de ramener avant tout de la photographie de foudre, j’étais loin de m’imaginer ce qui allait m’attendre en ce 28 juin 2012. Une chasse toute prête à désigner la Saône-et-Loire comme étant THE PLACE TO BE durant toute la saison.